Pour tous les correcteurs,
lecteurs-correcteurs et rédacteurs-réviseurs
Les correcteurs et correctrices se sont organisés en syndicat dès 1881 et ont rejoint la CGT en 1895. Aujourd’hui réunis en section de métier dans le Syndicat général du Livre et de la communication écrite CGT, nous avons pour vocation de fédérer et défendre tous les correcteurs, qu’ils travaillent dans la presse, l’édition ou la publicité, sous un statut salarié (TAD, pigistes) ou de microentrepreneur.
Comme chaque année, décembre est le mois où, dans nombre de titres de presse, les directions proposent aux salariés travaillant sous la convention collective nationale des journalistes (dont les correctrices et correcteurs de presse – aussi appelés rédacteurs-réviseurs – font partie) un abattement pour frais professionnels de 30 % et vous demandent si vous l’acceptez ou pas.
Le syndicat conseille de refuser cet abattement de 30 % sur les cotisations de la Sécurité sociale, pour deux raisons :
1) Certes, votre salaire net augmentera un peu, mais votre retraite, elle, par exemple, diminuera (puisque vous aurez moins cotisé).
2) Ces 30 % d’abattement, c’est de l’argent en moins dans les caisses de la Sécurité sociale, déjà durement frappée par les suppressions et baisses de cotisations sociales accordées à tout-va aux entreprises par le gouvernement, et une mise à mal des mécanismes de solidarité collective.
Précision : cet abattement de 30 % n’a rien à voir avec l’abattement fiscal annuel de 7 650 euros prévu par la convention collective nationale des journalistes.
Dans la presse, l'édition ou la com, salarié ou auto-entrepreneur, à domicile ou sur site, ne restez pas isolé, syndiquez-vous !
Le formulaire d'adhésion
Les correcteurs syndiqués peuvent déposer leur CV sur le site, régulièrement consulté par des employeurs.
Formulaire