Menace ou évolution à cerner ? L’intelligence artificielle, qui connaît un développement tous azimuts ces dernières années, pourrait bousculer notre métier. Engager la réflexion à son sujet est urgent et nécessaire. Ce premier texte est l’amorce d’une discussion syndicale sur le sujet.
> LireUn nouvel imbroglio entre Pôle Emploi et les directions de certaines entreprises de presse au sujet des attestations employeur vient encore compliquer la vie des salarié·és rémunéré·es à la pige, dont nombre de correcteurs et correctrices de journaux. On fait le point.
> LireLes éditions Robert Laffont ont été condamnées pour avoir fait travailler une correctrice sous le statut d'autoentrepreneur. Les condamnations, notamment pour travail dissimulé, sont lourdes ! C'est une victoire totale, pour notre camarade et pour le syndicat.
> LireStatut des travailleurs et travailleuses à domicile : le patronat de l’édition rate encore l’occasion d’éradiquer le paiement à la tâche !
> LireCorrecteurs et correctrices rémunéré·es à la pige et Pôle emploi : le casse-tête prend un coup sur la tête !
> LireLa rémunération à la pige est très répandue dans la presse. Depuis que les correcteurs ont perdu le statut d’ouvrier du Livre et pris, par défaut, celui de journaliste, beaucoup sont concernés par ce “statut” qui n’en est pas un et dont les patrons de presse raffolent, tant il est précaire. Petite revue des droits.
> LireRevendication des actions de collage contre le Syndicat national de l’édition et le groupe Editis. Premier round.
> LireLes correctrices et correcteurs CGT tiennent leur assemblée générale, le 19 mars. Qu’on se le dise ! Les non-syndiqués sont les bienvenus. Toutes les infos, ci-dessous.
> Lire> Lire
Nous demandons au SNE et aux employeurs de neutraliser l’année 2021 pour le calcul des volumes d’activité prévisionnels des travailleurs à domicile.
> LireÀ paraître le 19 août, un livre du secrétaire des Correcteurs CGT qui revient en détail sur le métier de correcteur : histoire, conditions d’exercice, statuts, perspectives revendicatives en défense de la correction et des correcteurs. Un diagnostic syndical, aux éditions Libertalia.
> LireAprès dix-huit ans de collaboration avec France Télévisions et Maximal Productions, diffuseur et producteur de l’émission C dans l'air, la société French TV a perdu l’appel d’offres dans le cadre du renouvellement du contrat de l’interactivité. Résultat, la dizaine de correcteurs et correctrices embauchés par French TV seront mis à la porte, le 28 août.
> LireC'est avec une grande tristesse que nous avons appris la mort brutale de notre ami, camarade et confrère Marc Tomsin, à La Canée, en Crète.
> LireRésultats de la grande enquête lancée par le syndicat sur les conditions de travail, de rémunération, l’accès aux droits des correcteurs salariés sous le statut de travailleur à domicile (TAD).
> LireUne consœur correctrice a saisi, avec le syndicat, le conseil de prud’hommes de Paris pour demander la requalification de sa relation de travail avec les éditions Robert Laffont (groupe Editis).
> LireL’annexe IV de la convention collective de l’édition arrive à échéance, dans sa forme actuelle, le 31 décembre prochain. Des négociations s’ouvrent. Notre objectif est de l’amender pour qu’elle soit, à l’égard des TAD, le plus juste possible. Nous lançons un sondage dans le cadre des discussions qui s’engagent. Ce sondage nous permettra de porter des améliorations qui tiennent le plus compte de la réalité du « terrain », soit de vos conditions de travail. Les questions que nous avons formulées font apparaître les principaux sujets qu’il nous apparaît essentiel de mettre sur la table. Comme nous l’affichons haut et fort en haut du sondage, il y va de l’avenir de notre métier, et chacun d’entre nous peut apporter sa pierre à l’édifice.
Lors de la réunion paritaire de ce matin, le SNE nous a assuré qu’il restait sur la même ligne concernant les clauses évaluatives d’activité, à savoir qu’il fallait neutraliser l’année 2020 et ne retenir que 2019.
> LireRas le bol des doubles discours ! Les charges de travail des travailleurs à domicile doivent être sécurisées pour 2021 !
> LireCourrier du service correction de « L’Équipe » adressé aux actionnaires et dirigeants du groupe Amaury.
> LireVictoire ! Le SNE a concédé une première avancée importante pour les TAD, satisfaisant une demande du syndicat : dans le calcul des clauses évaluatives d'activité, l'année 2020 doit être neutralisée.
> LireMalgré les alertes lancées par les TAD eux-mêmes et notre syndicat le 15 décembre, des maisons d’édition continuent d’imposer la prise en compte de l’année 2020 pour l’établissement des clauses évaluatives d’activité de 2021 !
> LireCommuniqué à propos de l‘établissement des clauses évaluatives d‘activité des travailleurs à domicile pour 2021.
> LireComme chaque année, décembre est le mois où, dans nombre de titres de presse, les directions proposent aux salariés travaillant sous la convention collective nationale des journalistes (dont les correctrices et correcteurs de presse – aussi appelés rédacteurs-réviseurs – font partie) un abattement pour frais professionnels de 30 % et vous demandent si vous l’acceptez ou pas.
> LireCDD, intérim, rémunération à la pige, travail à domicile, paiement à la tâche, microentrepreneuriat dévoyé : la liste des « statuts » précaires est longue dans l’édition de livres, les industries graphiques et la presse. Des milliers de travailleuses et travailleurs sont ainsi soumis aux fluctuations de la charge de travail et alternent période d’activité et période de chômage.
> LireLa loi dite de sécurité globale fait peser de graves menaces sur la liberté d'informer et d'être informés. Les syndicats des travailleurs et travailleuses de la presse, dont celui des correcteurs, appellent à se mobiliser.
> LireLes Correcteurs CGT collectent les dictionnaires et les mettent à disposition des confrères et consœurs qui travaillent à domicile et doivent assumer eux-mêmes les coûts liés au renouvellement régulier de cet outil de travail. Explications.
> LireLe Syndicat national de l’édition (SNE, employeurs) souhaite signer un accord de branche pour mettre en place un dispositif dit APLD (activité partielle de longue durée).
> LireTravailleurs à domicile (TAD) de l'édition, pour vous représenter au mieux face au Syndicat national de l'édition (employeurs), nous avons besoin de vous, dans le cadre du suivi paritaire de la mise en place de la nouvelle annexe IV de la Convention collective nationale de l'édition !
> LireLe fonds de solidarité pour les autoentrepreneurs a été prolongé pour les pertes des mois de juillet, août et septembre 2020 pour les secteurs les plus touchés par la crise du Covid-19. L'édition de livre fait partie des secteurs concernés. Le formulaire pour le mois de juillet vient d'être mis en ligne, aujourd'hui. Explication.
> LireUn an après un plan social qui avait saigné les effectifs du prépresse, notamment ceux du service Correction, la direction de « L'Équipe » fait du chantage à l'emploi pour arracher des baisses de salaire !
> LirePour les correcteurs de presse multi-employeurs, travaillant sous la convention collective des journalistes, qu'ils aient ou non la carte de presse, il y a du nouveau concernant l'abattement fiscal de 7 650 euros auquel vous avez droit chaque année.
> LireFace aux ravages financiers de la crise chez les correcteurs précaires, nous avons mis en place un fonds de solidarité. Les travailleurs à domicile, les salariés à la pige et les microentrepreneurs ayant connu une baisse de revenus depuis mars ont droit à une aide forfaitaire de 250 euros, dès lors qu'ils sont syndiqués. N'hésitez pas à en faire la demande !
Depuis le début de la crise sanitaire, les travailleurs à domicile et les salariés rémunérés à la pige – tous payés à la tâche, donc – sont obligés de redoubler d’effort pour que leurs employeurs prennent en compte leur situation d’extrême précarité. Il a fallu batailler pour imposer l’égalité de traitement, et parfois nous n’y sommes pas parvenus. Le gouvernement a publié un décret, daté du 16 avril 2020, précisant les modalités d’ouverture du dispositif dit d’activité partielle aux TAD et aux salariés rémunérés à la pige.
> LirePayés à la tâche, les travailleurs à domicile (TAD) se retrouvent dans une grande précarité dès lors que les maisons d’édition décident de décaler leurs parutions, et elles sont nombreuses à le faire. Sans travail donc sans revenu, ils doivent faire face, en plus de la crise sanitaire, à une détresse financière importante.
> LireLes correcteurs rémunérés à la pige sont des salariés. En cela, l’égalité doit être la règle ! Et toute exclusion des salariés rémunérés à la pige des dispositifs prévus par le gouvernement ou les employeurs devra être considérée comme une discrimination et traitée comme telle. On fait le point sur les revendications à porter.
Impossibilité de travailler pour cause de garde d’enfants ou de maladie, commandes annulées ou reportées, etc. Les correcteurs microentrepreneurs, souvent faux indépendants et vrais travailleurs précaires, subissent de plein fouet les conséquences économiques, et sociales, de la crise sanitaire actuelle. Pour réduire cette précarité et sécuriser un peu leur situation, ils peuvent néanmoins solliciter quelques aides.
> LirePlusieurs questions se posent aux correcteurs et correctrices après les annonces d’Emmanuel Macron, notamment à propos du télétravail et de la fermeture des écoles. Rémunérés à la pige ou sous statut de travailleurs à domicile (TAD), nombreux sont ceux qui se retrouvent dans des situations anxiogènes.
> LireCommuniqué en solidarité avec les auteurs et autrices toujours mobilisés après les annonces décevantes de Franck Riester.
> LirePlusieurs TAD nous ont alertés sur une mauvaise interprétation, par les employeurs, de l'annexe IV concernant le calcul de l'indemnité compensatrice de baisse d'activité ! À l'origine ? Des consignes du SNE…
À la suite de la Ligue des auteurs professionnels, le SGLCE-CGT lance un appel à témoignages contre les violences sexistes et sexuelles dans le monde de l'édition. Une adresse mail spécifique a été créée pour recueillir les témoignages.
> LireLes correcteurs de presse CGT sont signataires de cette tribune de salariés de la presse mobilisés contre la réforme des retraites.
> LireÀ Malesherbes Publications (société qui édite notamment « La Vie » et « Le Monde des religions » et propriété du Groupe Le Monde), la direction a récemment annoncé la mise en place d'un plafond annuel individuel imposé aux pigistes (dont les correcteurs, qui sont quelques-uns à être rémunérés à la pige), fixé à 6 000 euros brut par an par pigiste. La mise en place de ce plafond va se traduire, pour nombre de pigistes, par une baisse de leur charge de travail et, donc, de leurs revenus.
> LireLe nouveau numéro de notre lettre d'infos est disponible, avec un sommaire du tonnerre ! Disponible sur demande, version papier ou numérique, selon votre bon vouloir.
> LireLa casse de l’Assurance chômage votée il y a quelques mois va désormais se faire sentir pour les millions de demandeurs d’emploi et travailleurs précaires. Les nouvelles règles issues de cette « réforme » s’appliquent depuis le 1er novembre et elles vont durement frapper les chômeurs, en particulier les femmes et les plus précaires.
> LirePetite photographie de la rubrique « emploi » de l'Asfored, l'association nationale pour la formation et le perfectionnement professionnels dans les métiers de l'édition, pilotée par le syndicat patronal de la branche...
> LireCommuniqué de notre section syndicale au quotidien Le Parisien à propos de la création d'un pôle d'édition unique et la satisfaction d'une revendication ancienne : que les correcteurs puissent intervenir sur le site Web du journal ! Des inquiétudes toutefois quant à la charge de travail et aux effectifs…
> LireDans « Le Devoir », journal québécois, le chroniqueur Louis Cornellier rend hommage aux correctrices, aux correcteurs.
> LireMotion de l'assemblée générale des salariés du Groupe Le Monde du 24 juin 2019 au sujet des conditions de travail, d'hygiène et de sécurité qu'augure le nouveau siège du groupe, près de la gare d'Austerlitz.
> LireDepuis six semaines, les salariés en grève de l’imprimerie La Galiote, à Vitry-sur-Seine, sont mobilisés pour la défense de leurs droits et de leur dignité. Ils réclament le maintien de leur sixième semaine de congés payés, l’égalité salariale et le respect de leurs conditions de travail. Ils dénoncent également un management patriarcal à la dure qui règne dans l’entreprise sur tous les travailleurs.
> LireL'actualité sociale à « Livres Hebdo », où la direction voudrait supprimer le service correction du magazine, nous montre combien d'illusions brasse encore ProLexis, ce logiciel de correction dont beaucoup pensent qu'il pourrait aisément remplacer le correcteur professionnel. Le syndicat a produit un document, à destination des directions, qui explique pourquoi il est dangereux de confier ProLexis à des personnes dont la correction n'est pas le métier.
> Lire[Communiqué du syndicat] La décision de ne plus recourir au service de correction-révision à « Livres Hebdo » et de réduire significativement les effectifs du secrétariat de rédaction, à des fins de réduction de « coûts », présente un risque pour la qualité globale du magazine.
> LireVisiblement beaucoup moins soucieuse de la qualité de ses publications, la direction de « Livres Hebdo » souhaiterait se débarrasser du service correction. Pour protester et défendre notre métier, signez la pétition !
> LirePhotos du rassemblement syndical des lecteurs-correcteurs, correcteurs et typographes de Gallimard du jeudi 14 mars 2019.
> LireUne correctrice d'édition, TAD et syndiquée, appelle à la vigilance quant aux recours à l'auto-entrepreneuriat dans l'édition, pour les travaux de correction, mais pas seulement. Derrière cette illusion d'indépendance, un rapport de subordination toujours là et encore plus sauvage, tremplin vers le dumping social.
> LireUne correctrice d'édition revient sur l'expérience délicate, et difficile, que fut la correction de « La mort est mon métier », de Robert Merle, recomposé pour un format poche.
> LireOn commence l'année avec une bonne nouvelle : l'éditeur Wolters Kluwer France a été condamné par le conseil de prud'hommes de Paris, vendredi 4 janvier, pour avoir diminué drastiquement le volume de travail de deux correcteurs TAD ! Soutenus par le syndicat, ceux-ci remportent une belle victoire.
> LireL'éditeur Berger-Levrault a été condamné aux prud'hommes le 27 novembre 2018 pour travail dissimulé, après qu'un correcteur, assisté du syndicat, a saisi la juridiction pour obtenir la requalification en CDI de sa relation de travail.
> LireUne correctrice a contacté ce matin le syndicat pour dénoncer les pratiques d'un employeur. Récit en quelques lignes et captures d'écran d'une petite indélicatesse de plus dans le monde merveilleux de la correction.
> LireLa CGT a décidé de ne pas signer l'accord portant révision de l'annexe IV de la Convention collective nationale de l'édition, qui régit le statut des travailleurs à domicile. La déprécarisation annoncée n'est pas là quand les employeurs, en revanche, en sortent sécurisés au maximum.
> LireCoup de gueule salutaire d'une correctrice d'édition, travailleuse à domicile et, par ailleurs, représentante du syndicat dans les négociations paritaires de la branche.
> LireAprès une grève et deux assemblées générales, les salariés du « Parisien » ont arraché la satisfaction de la plupart de leurs revendications, dont l'essentiel porte sur les conditions de travail et les embauches. Très impliqués, les correcteurs, avec l’appui du syndicat, ont notamment pu obtenir l'embauche en CDI à temps plein d'un pigiste au service correction.
> LireLa secrétaire à l'édition de notre syndicat revient sur les négociations paritaires dans la branche de l'édition, notamment celle sur le statut des travailleurs à domicile. Immersion !
> LireAlors que les éditeurs de presse mettent aujourd'hui tous leurs espoirs dans le numérique, un paradoxe s'impose : le support rêvé échappe encore à la plupart des métiers qui, dans la chaîne graphique, travaillent sur la qualité des productions. C'est notamment le cas de la correction, étape essentielle et pourtant encore très largement absente des publications Web des grands quotidiens nationaux et régionaux. Retour syndical sur une absurdité.
> LireNous avons rencontré le Syndicat des écrivains de langue française (SELF). L'occasion d'un long entretien sur les relations au travail entre ces deux métiers de l'édition et, bien sûr, les luttes des uns et des autres et les ponts que l'on peut (doit ?) construire entre elles.
> LireRapport d'activité du secrétaire délégué de la section des correcteurs du Syndicat général du Livre et de la communication écrite CGT (juin 2018).
> LireAu quotidien « Le Parisien », nous avons interpellé la direction sur la charge de travail du service correction du journal.
> LireDans un article bien informé, le média ActuaLitté revient sur la négociation des minima sociaux dans la branche de l'édition et l'accord qui en est sorti, non signé par la CGT.
> LireÀ propos d'une « offre d'emploi » de correcteur de l'entreprise Group Topo Marketing…
> LireRetour détaillé, mais non exhaustif, sur la première Table ronde « édition » organisée par le SGLCE-CGT, à la Bourse du travail de Paris, le 9 juin 2018, au sujet du statut et des droits des travailleurs à domicile de l'édition.
> LireSamedi 9 juin, première table ronde de l'édition, organisée par notre syndicat, autour du statut des travailleurs à domicile et, plus généralement, des conditions d'exercice de notre métier dans l'édition… À 13 h 30, à la Bourse du travail de Paris, salle Francisco-Ferrer.
> LirePrésentation de « La Lettrine », nouvelle lettre d'infos des correcteurs CGT.
> LireLes correcteurs du SGLCE-CGT participeront aux débats des États généraux du Livre, le 22 mai 2018, à Paris.
> LireLe 1er mai 2018, les correcteurs ont répondu présent, à l'appel de leur syndicat, pour manifester pour le progrès social !
> LireCommuniqué de l'intersyndicale du Parisien – FO, SNJ, SNJ-CGT, SGLCE-CGT – à propos du plan d'économies annoncé par la direction lors du dernier comité d'entreprise.
> LireAprès la réunion paritaire du 17 avril 2018 avec les représentants du Syndicat national de l'édition (SNE, employeurs), les points de désaccord dur demeurent… Focus.
Le jeune média Konbini, branché et prisé, était déjà connu pour ses pratiques douteuses à l'égard de celles et ceux qui travaillent pour lui. Un nouveau témoignage, déposé sur le Net, vient ajouter à cette sale réputation, qui se justifie donc toujours plus.
> LireRetour du syndicat sur les négociations en cours dans la branche de l'édition sur le statut des correcteurs travailleurs à domicile.
> LireDans une décision politique, la Cour de cassation a, le 28 février 2018, cassé le jugement de première instance et de la cour d'appel qui condamnait Wolters Kluwer France pour ses manœuvres fiscales visant à dépouiller ses salariés de toute participation.
> LireTract distribué à l'inauguration de Livre Paris, le jeudi 15 mars 2018.
> LireNotre camarade Corinne, correctrice TAD la nuit, photographe de choc le jour, revient en photos sur le rassemblement devant L'Équipe du 15 février 2018.
> LireLe SGLCE-CGT appelle les salariés de la profession à se rassembler à 13 heures devant le siège du journal.
> LireNous avons interpellé la direction du Parisien à propos de la correction du site Web du journal, dont les articles échappent encore à l'œil et au savoir des correctrices et correcteurs, contrairement au papier.
Communiqué du SGLCE-CGT en soutien aux grévistes de L'Équipe.
> LireCommuniqué du SGLCE-CGT à propos de l'annonce d'un nouveau plan social au quotidien sportif qui concerne essentiellement les anciens ouvriers du Livre (correcteurs et photograveurs de presse).
> LireUn article paru dans le journal Le Monde le 18 janvier 2018.
> LireCommuniqué du SGLCE-CGT.
> LireBeau rassemblement, mardi 9 janvier 2018 au matin, à l'initiative des Correcteurs précaires, boulevard Saint-Germain, à deux pas du siège du Syndicat national de l'édition (SNE). Nous étions une soixantaine de personnes dans la rue, malgré le froid, pour dénoncer la précarité des correcteurs, et plus largement de tous les travailleurs à domicile, dans l'édition.
> LireLa précarité des correctrices et correcteurs de l'édition s'invite à l'Assemblée nationale, par l'intermédiaire de deux députés, Valérie Beauvais (LR) et Michel Larive (LFI), qui ont chacun déposé une question parlementaire, respectivement le 26 décembre 2017 et le 2 janvier 2018. En voici la teneur.
> LireDans un communiqué publié le 13 décembre 2017, le collectif Correcteurs précaires appelle à un rassemblement devant le siège du Syndicat national de l’édition (employeurs), le 9 janvier 2018, à 9 heures.
> LireNous relayons ci-dessous l'appel du collectif Correcteurs précaires à se rassembler toutes et tous le 9 janvier devant le siège du Syndicat national de l'édition (employeurs). Nous y serons, pour sûr !
> LireSi notre syndicat organise aussi les correcteurs auto-entrepreneurs, il combat cette arnaque qui tire vers le bas les conditions de travail et plonge celles et ceux qui exercent le métier sous ce statut (bien souvent sous contrainte) dans une grande précarité.
> LireCommuniqué du SGLCE-CGT à propos de la rupture collective conventionnelle que la direction du Figaro veut mettre en place.
> LireLa Mutuelle de la presse, du spectacle et de la communication change de nom. Elle s’appelle désormais uMEn. Voici quelques précisions utiles.
> LireIntervention du secrétaire de la section des correcteurs du SGLCE-CGT lors de l'assemblée générale du 25 novembre 2017.
> LireDeux correctrices du journal Le Monde publient, dans les colonnes du quotidien du soir, un bel article sur les débats qui agitent les cassetins à propos de l'évolution de la langue française.
> LireEn septembre 2012, l'émission L'Éloge du savoir, sur France Culture, revenait sur le rôle, la place et les activités des correcteurs d'imprimerie pendant la Renaissance à travers un cours donné au Collège de France par l'historien Anthony Grafton (États-Unis). Une belle émission, qui ajoute une petite pierre de plus à l'édifice de l'histoire de notre métier.
> LireLe Syndicat général du Livre et de la communication écrite battait le pavé et le bitume des rues parisiennes, hier, contre les ordonnances Macron et pour le progrès social ! Les correcteurs et les correctrices ont répondu à l'appel. Photos (par notre camarade TAD Corinne) !
> LireNous reproduisons ci-dessous le communiqué du Collectif des pigistes à Blanqui (qui compte des correcteurs) à propos de la signature d'un accord au Monde sur les piges (lequel est dû à la mobilisation dudit collectif).
> LireDans sa livraison de novembre 2017, Le Travailleur parisien, journal de l'Union des syndicats CGT de Paris, revient en détail sur l'actualité des correcteurs : les revendications portées et les transformations organisationnelles qui ont vu le Syndicat des correcteurs CGT se fondre dans le Syndicat général du Livre et de la communication écrite CGT.
> LireSi le métier de correcteur vous intéresse, voici la marche à suivre pour vous former.
> Lire« L'Imprévu » revient, dans un excellent article, sur la situation des correctrices et correcteurs de l'édition.
Qu’est-ce qu’un TAD, pour commencer ? TAD signifie « travailleur à domicile ». Mais est-on mieux renseigné une fois qu’on a le développé de ce sigle ?
> LireÀ la commission mixte paritaire (CMP) de la branche édition qui s’est réunie le 29 septembre 2017, il a été annoncé que le dossier des travailleurs à domicile (TAD) allait continuer à être traité dans le cadre d’un groupe de travail piloté par Sébastien Abgrall (DRH du groupe Madrigal). Le Syndicat national de l'édition (SNE, employeurs) est cette fois d’accord pour revisiter en profondeur le statut des TAD, sans s’interdire toutefois d’exploiter, en parallèle, le champ des possibles induits par l’application des ordonnances Macron (!).
> LireDans les débats qui peuvent agiter le métier et ses cassetins, l'écriture inclusive occupe une petite place ces derniers mois. Tant mieux ! Ci-dessous, un correcteur du Monde.fr, Richard Herlin, revient sur la question, dans un article et en vidéo !
> LireLe Canard enchaîné évoque brièvement, cette semaine, la mobilisation des travailleurs précaires du journal Le Monde.
> LireAppel du SGLCE-CGT à manifester le 19 octobre 2017 contre les ordonnances Macron.
> LireLa Correspondance de la presse, quotidien d'information et de documentation professionnelles, évoque, dans son édition du 13 octobre 2017, la mobilisation des travailleurs précaires du journal Le Monde.
> LireAu journal Le Monde, un collectif regroupant les pigistes de plusieurs services (des correcteurs, des pigistes de l'infographie, de la direction artistique, certains secrétaires de rédaction en piges, etc.) s'est monté ces derniers mois pour dénoncer la précarité qu'ils subissent et qui semble être la règle, au quotidien du soir, dans la gestion du personnel. Nous relayons l'appel qu'ils ont lancé à ce sujet, le 11 octobre 2017, décrétée pour l'occasion "Journée des précaires".
> LireL'édition, c'est 2,5 milliards d'euros de chiffre d'affaires… Et dire que la plupart des éditeurs ne sont pas foutus de proposer aux correcteurs autre chose que la précarité (l'auto-entrepreneuriat ou le CDI TAD à 0 heure).
Nos camarades Pierre Lagrue et Silvio Matteucci, correcteurs d'édition et de presse, signent un livre sur notre métier aux éditions L'Harmattan.
> LireLe SGLCE-CGT était encore bien mobilisé ce 21 septembre 2017 contre la loi Travail XXL.
> LireAppel du SGLCE-CGT à la mobilisation le 23 septembre 2017 contre les ordonnances Macron.
> Lire« L'édition a toujours eu 10 ans d'avance pour les régressions sociales, si on a envie de voir ce qu'il va se passer dans la société française, dans le monde du travail, il faut regarder ce qu'il s'est passé 10 ans auparavant dans l'édition : les paiements en droits d'auteur avec l'Agessa, puis le micro-entrepreunariat... C'est l'ubérisation avant l'heure. »
Des correcteurs SGLCE-CGT du Parisien, du Monde, des Journaux officiels et de l'édition, ainsi que quelques vaillants retraités du métier, étaient dans la rue, hier, à Paris, pour protester contre les ordonnances Macron.
La CE du SGLCE-CGT appelle la profession à se mobiliser contre les ordonnances de Macron.
> LireAppel à la mobilisation de la profession contre les ordonnances visant la destruction du Code du travail.
> LireHommage à notre camarade Pierre Parot.
> LireRéponse aux propos de Françoise Nyssen, ministre de la Culture, dans L'Obs à propos de la précarité des correcteurs de l'édition.
> LireFinalement, la ministre de la Culture, Françoise Nyssen, aura répondu à notre lettre intersyndicale. Mais pas directement… Elle s’est, pour l’heure, contentée des colonnes de L’Obs. Maintenant, on attend le rendez-vous que nous sollicitions également.
> LireLe 4-pages du SGLCE-CGT à propos des projets antisociaux d'Emmanuel Macron.
> LireMardi 6 juin (celui qui vient, donc), l’Union départementale des syndicats CGT de Paris organise un rassemblement devant l’hôtel de ville à midi, contre les projets de Macron et son gouvernement, pour les 32 heures, les salaires et le progrès social.
> LireL’intersyndicale de l’édition (CGT, CFDT, FO, CFE-CGC), dont le SGLCE-CGT est membre, vient d’interpeller la nouvelle ministre de la Culture au sujet de la précarité des correctrices et des correcteurs de l’édition. Françoise Nyssen étant issue de l’industrie du livre (elle est la patronne des éditions Actes Sud), gageons qu’elle saura accorder à notre courrier toute l’importance qu’il mérite.
> LireLes correcteurs ont participé aux Assises des métiers du Livre organisées par la Filpac-CGT.
> LireLes correcteurs étaient avec leur syndicat, le SGLCE-CGT, à la manifestation du 1er mai, contre l’extrême droite et les politiques ultralibérales, pour les 32 heures et la justice sociale.
> LireCommuniqué du SGLCE-CGT suite au premier tour de l’élection présidentielle et en vue du 1er mai.
> LirePhotos du rassemblement du 21 avril 2017 devant la DGT.
> LireContre la précarité des correcteurs dans l'édition.
> LireUn article de Livres Hebdo à propos de la condamnation en appel de Gallimard contre ses correcteurs.
> LireLe correcteurs CGT se sont invités à leur manière au Salon du livre de Paris !
Dans la presse, l'édition ou la com, salarié ou auto-entrepreneur, à domicile ou sur site, ne restez pas isolé, syndiquez-vous !
Le formulaire d'adhésion
Les correcteurs syndiqués peuvent déposer leur CV sur le site, régulièrement consulté par des employeurs.
Formulaire